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LES GUIDES PARLENT DE NOUS

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GUIDE DU ROUTARD 2006 - 2017 -  Khoaviet Travel (Hanoi Tours) - Page 50 Sites: ..

AVIS DE NOS CLIENTS

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Voici mes commentaires sur ce beau voyage; Très beau voyage conçu en fonction de ..

Population

En termes d’effectifs de population, le Vietnam, avec 87 millions d’habitants, se situe à la 13è place mondiale dernière la Chine, l’Inde, les Etats – Unis…En Asie du Sud – Est, il est en seconde position dernière l’Indonésie (222 millions d’habitants).

Démographie

L’explosion démographique
 
En 1901, le Vietnam ne comptait que 13 millions d’habitants.  Selon le dernier recensement de 1999, le taux d’acroissement annuel s’élevait  à 2,2 %(il est de 0,3 % en France et de 1,4 % en Chine), mais selon plusieurs experts étrangers, il serait sous- estimé et le Vietnam devrait compter plus de 100 millions d’habitants en 2025. Les 3 résencement réalisées en 1979, 1989 et 1999 montrent que le Vietnam connaît une très forte croissance démographique : 52,5 millions d’habitants en 1979, 64,4 millions d’habitants en 1989 et 69 millions en 1992 et 79,6 millions en 1999 et 87 millions en 2007. officillement, le pays tente de réduire le taux d’accroissement annuel à 1,14% afin que le Vietnam compte moins de 89 millions d’habitants à l’horizon 2010. Le Vietnam entend stabiliser le nombre des habitants à 125 – 130 millions de personnes vers 2050. Mais selon Nguyen Thien Truong, chef d’adjoint du comité national de la Démographie, de la Famille et de l’Efance, les acquis du pays en matière démographique, malgré les politiques  mises en place, ne sont pas stables.

La politique de contrôle des naissances

Pour faire face à la forte pression démogrphique le gouvernement a mis en place une politique active de contrôle des naissances avec des campagnes d’informations sur l’utilisation du stérilet et du preservative. Mais ces méthodes sont encore très peu répandues, comme un témoigne la fréquence des avortement. D’après l’ONU, le Vietnam est l’un des  5 pays du monde comptent le plus fort taux d’IVG. Le manque d’éducation en matière de sexualité en serait une des principales explications.

La politique antinataliste du gouvernement, qui limite le nombre des naissances à 2 enfants par couple (sauf pour les minorités) , a connu un certain success dans les grandes villes.

Elle s’est appuyée sur des mesures contraignantes (pose obligatoire du stérilet pour les accouchées dans les hospitaux, sanctions financiers ou administratives pour les couples ne respectent pas la loi) facilitées par l’eficacité du contrôle administratif en milieu urbain. Dans les campagnes (au Vietnam ), la population compte près de 80% de ruraux ) et les regions montagneuses peuplées de minorités, en revanche, cette politique se heurte à des fortes réticences. Le manque d’insfrastructures sanitaires empêche le corps medical d’exercer un contrôle aussi strict qu’un milieu urbain.

Nombre de femmes préfèrent encore accoucher à domicile. Les traditions favorisent un nombre élevé des naissances. Plusieurs enfants mâles sont la garantie d’une perpetuation du nom de famille  et de pérennité du culte des ancêtres. Ils sont également une source de main – d’oeuvre pour les travaux des champs.
 
Le problème du sexe
 
La population vietnamienne se caractérise par sa jeunesse (le quart de la population a moind de 15 ans) et par un nombre de femmes, nettement supérieur à celui des homes. L’explication de ce déséquilibre reside naturellement dans les longues années de la guerre. Au Vietnam, la tradition a toujours accordé une certaine liberté aux femmes, qui bénificiaient notamment du droit de propriété et d’un statut égal dans la repartition  de l’héritage . un couple privé d’heriter mâle peut ainsi en adopter un ou transmettre la charge du culte des ancêtres (la part de l’encens  et de feu ) à la fille aînée qui l’assumera dans son nouveau foyer.

Cependant, une tendance à la masculinisation de la jeunesse semble s’installer. En effet, plusieus enquêtes récents ont suscités l’inqiétude, en montrant que dans certains provinces, le nombre de nouveau – nés de sexe masculine était nettement supérieur à celui des nouveau – nés de sexe feminine. Si certains experts contestent  les resultats de ces enquêtes, d’autres mettent en garde contre le risque d’un désiquilibre tel qi’il existe en Chine.

En accusation, un effet collateral de la banalisation de l’examen prenatal qui serait utilize comme mode de selection du sexe de l’enfant.

Officiellement, l’avortement sélectif basé sur le sexed u foetus ne fait pas partie des traditions vietnamiennes et l’Assemblée nationale a adopté des mesures legislatives contre cette pratique, encore mal documentée.

Un des pays les plus denses du monde

La  croissance démogrphique vietnamienne se double d’une très forte densité de la population don’t  l’écrasante majorité vit en zone rurale. La densité moyenne (240 hab / km2) ne rend cependant pas compte de l’inégalité dans la repartition de la population. Aux plaines grouillantes qui rassemblent 80 % de la population (les deltas du nord et du sud concentrent les plus fortes densités ; autour de Hanoi, la densité atteint ainsi 1300 hab / km2) s’opposent les regions de moyenne et haute altitude encore peu peuplées.

Le surpeuplement rural est un des grands défis auxquels est confronté le gouvernement. Outre l’exode rurale qui se poursuit, de nombreux dépalcements de la population, volontaires ou forces, ont eu lieu, donnant naissance non seulement à de nouveaux  genres de vie et à de brassage ethnique de plus en plus marqué. Ces transformations ne vont pas sans heurts. Dans le cadre de la politique gouvernementale de redéploiement des forces de travail (pour rééquilibrer la repartition démographique pour faire face au problème grandissant du chômage), les Kinh de l’ethnie majoritaire gagnent peu à peu les régions montagneuses en particulier vers les hauts plateaux du Centre, riches en terres  rouges fertiles où ils mettent en valeur les zones économiques nouvelles. Les plantations de café, de théiers ou de poivriers, domaine ancestral  des espaces forestiers, domaine ancestral des minorities autochtones réduites à se retirer dans territories ingrates et inaccassibles.

La revolution urbaine est en marche
 
Selon les previsions officielles, le taux d’urbanisation devrait passer à 33% d’ici en 2010 et à 45 % d’ici en 2020. en 2000, 19 millions d’habitants (sur une population totale de 80 millions) vivaient en zones urbaines, soit un taux  d’urbanisation de 22%. Ce processus d’urbanisation, qui s’inscrit dans le cours de modrenisation et de l’industrialisation du pays, n’est pas sans poser de nombreux problèmes  : environnement, gestion de l’exode rurale. Insuffisance des infrastructure…. L’envoi de travailleurs vietnamiens à l’étranger est une des autre mesure du gouvernement destine à faire face au défi démograqhique. Autrefois envoyée dans les pas de l’Est, la main – d’oeuvre vietnamienne  est aujourd’hui employée dans les pays du Golfe ou alors à Taiwan, en Corée du Sud ou à Singapore.

Peuples du Vietnam

 
La république socialiste du Vietnam définit comme un Etat multinational et reconnait 54 ethnies différentes. Les Viets (ou Kinh) représentent 87% de la population totale. Les autres minorities, très diversifiées, appartiennent à 5 grandses familles linguistique  (comme le français, l’allemand et le grec appartiennent à la famille des langues indo – européennes).
 

Familles linguistiques

Famille autro – asiatique
 
Les Viets ou Kinh en font partie. Cette famille comprend également certains montagnarde des hauts plateaux du Centre (15 peuples différents parmi lesquels les Banar, les Sedang, les Mnong), les Khmers (environ 1 million d’invidus  vivant dans le delta du Mekong), les Muong établis au sud – ouest du delta du fleuve Rouge (leur culture, aujourd’hui nettement influenée par celle des Thais serait celle des Viets archaiques, qui n’auraient pas subi l’influence chinoise).
 
Famille austronésienne
 
Ce sont les veritables autochtones du pays, en tout  ce cas don’t la précense a été attestée bien avant celle  des autres groupes groupes qui, pour la majorité d’entre eux, sont “descendus” du sud de la Chine. Dans cette famille, om trouve des peoples vivant dans les hauts plateaux du Centre (Jaraï, Edé) et les Cham.
 
Les Thaïs
 
Originaires du sud de la Chine, ils sont arrives au début de l’ère chrétienne et se sont installées dans le fond des hautes vallées du nodrs du pays. Il sont représentés par plusieurs groupes : thais blancs, thais noirs, Nung…
 
Les  Miao – Yao

Egalement originaires du sud de la Chine, ils regroupent les Hmong (connus aussi sous le vocable vietnamien pejorative de Meo) et les Yao (Man à l’époque coloniale, Zao en Vietnamien). Les Hmong sont arrives très récemment dans le nords du Vietnam (XIXè siècle ). Ils sont également présents au Laos, en Thailande, en Birmarie et , suite à l’engagement anticommuniste d’une partie de la communauté au Laos, forment une petite diaspora aux Etats – Unis et …en Guyane franàcais ( refigiés politiques, ils sont fondé une prospère communauté d’environ 10000 personnes qui, après avoir défriché la jungle, vit de la culture maraîchère). On distingue au Vietnam 5 groupes de Hmong : Hmong blancs, Hmong verts, Hmong bariolés, Hmong rouges, Hmong noirs.
 Les Yao, arrives dans le nord du pays aux alentours des XIVè et XVè siècles, sont également divisés en plusieurs groupes reconnaissables à leurs caractéristiques vestimentaires : Yao rouges , Yao à sapèques…
 
Les Tibéto – Birmans

 
Ils comprennent principalement les Chinois ou Han, qui forment d’importantes communautés urbaines (voir Cholon à Ho Chi Minh ville) et  détiennent une part importnate des activités  commerciales. Vivant dans les zones montagneuses du nord Vietnam, les Miao – Yaone sont arrives que très récement, au cours du XIXè siècle. Parmi eux, on dénombre 6 peuples don’t les Hani, les Sila… peu nombreux au Vietnam, ils sont presents dans le sud – oust de la Chine et dans le tout le monde himalayen.

Repartition des populations


A ces ethnies correspondent des differences culturelles sensibles.
L’ethnie majoritaire, les Kinh (87 %) occupe principalement les bases terres, tandis que les autres ethnies habitent les piémonts, les plateaux et les flancs de montagnes ; excepté les Khmers habitant la plaine deltaïque et les Hoa, Chinois habitant les villes en basse terre. Les ethnies se différencient  par leur manière de vivre et par l’attitude de leur villages. Beaucoup pratiquent la culture sur brûlis, comme la plupart des populations vivant au – dessus de 900m. Le relief ne permettant pas la riziculture irriguée, elles sont obliges de fontionner comme des peuplades semisédentaires. Nombre de ces sociétés sont animists et pratiquent le culte des genies ; certaines ont été en parite converties à la religion catholiques ou protestante.
 
Les ethnies du Centre
Sans langue écrite ni organization politique, elles se regroupent en tribus ou en clans ; la famille est au Coeur de l’organisation de la vie quotidienne. Ces populations viavant de culture et de l’élevage ont été déplacés ou envoyées dans l’armée. Avant leur migration, elles pratiquaient le culte des genies auxquels elles sacrifiaient des buffles au cours de ceremonies rituelles, exactement comme le font encore aujourd’hui certains peoples d’Indonésie.
 
Les minorities du Sud

Les suivants de l’Empire cham (du IIè siècle à la fin du XVIIè siècle) se sont regroupés dans la région de Phan Rang. On en compte une centaine de milliers qui vivent d’argiculture et de commerce. Ils sont brahmaniste, shivaïstes ; seul une petite minorité est musulmane. Ils ont conserve, outré la langue vietnamienne qu’ils ont adoptee, leur langue et leur écriture.

Les Chinois

Venue de Chine dès les premiers compromise entre les deux peuples, une classe commerçante chinoise s’est installée autour des grands ports, à Hanoi et surtout à Saigon où ils ont fondé le quartier de Cholon. Ils étaient plus de 4 millions avant la gurre. La population ont quitté le pays et leurs rangs se sont clairsemés au point qu’ils ne sont plus guèrre qu’un million. Depuis 1981 et les dernières annanistes de 1985, ils reviennent et riuvrent des magasins ou raniment des quartiers désertés depuis 1975.

Les Khmers

Au nombre d’environ 600000, ils vivent dans le sud dans la région du Chu Nam, où ils s’étaient installés à l’annexion des provinces khmères par le Vietnam au XVIIè siècle. En majorité, commerçants ou fontionnaires, ils utilisent la langue vietnamienne en tout en ayant conserve la leur. Ils vivent parfois dans des maisons sur pilotis. Ce sont en majorité des bouddhistes du Theravâda, “Petit véhicul”.

La langue vietnamienne


Outré le vietnamien, la langue officielle, sont également  pratiquées au Vietnam les langues des ethnies minoritaires (khmer, cham, thaï, sedang, miao – yao, chnois ). Le XIIè siècle voit naître une écriture nationale qui tente de se démarquer du chinois, mais le chinois restera la langue écriture officelle au Vietnam jusqu’en 1955. L’écriture vietnamienne proprement dite, fondée sur une transcription d’idéogrammes chinois s’appelle le Nom.

Au XVIIè siècle, le père jésuite Alexandre de Rhodes, né à Avignon en 1591 et mort à lspahan en 1660, élaborea une transcription romanisée de la langue parlée (quoc ngu). Ce système, plus facile d’usage. Commença à s’imposer à la fin du XIXè siècle. En se diffusant, le quoc ngu a permis une democratization de l’écriture, qui n’existait pas dans le cas du chu nom, reserve jusqu’au XVIIIè siècle à une manorité de letters. Il contribua beaucoup à l’émancipation dee toute une partie  de la jeunesse nationaliste vietnamienne au début du XXè siècle. Le “quoc ngu” est devenu l’écriture officielle du régime actuel, alors que, quelques érudits mis à part, plus personne n’est en mesure de lire les inscription en “chu nom”.
Une langue tonale
 
Le vietnamien est une langue tonale, chaque syllable ayant une signification très différente selon le ton musical codé avec lequel elle est prononcée. Comme en chinois, c’est le ton qui donnera tel out el sens au mots.
Il existe 6 tons différents en vietnamien (le chinois en compte 4 ), et, contrairement au chinois, les mots vietnamiens ne sont pas monosyllabique. Ainsi, ne soyez pas surprise si, entre un ouvrage français et un livre anglais, les mêmes noms de rues ont des orthographes voisines. Les deux, privés des signes d’accentuation propres au “ quoc ngu”, sont des transcriptions phonétique correctes (ou incorrectes). La langue vietnamienne est par ailleur très différente du nord au sud dans la prononciation et son vocabulaire.